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Recherche par lecteur : Alain Maillard

24 résultats. Page 2 sur 2.

Lu par : Alain Maillard
Durée : 11h. 12min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 14564
Résumé:Hispaniola (Haïti), 1536 : condamnés à mort par les Conquistadors, traqués par des Caribs anthropophages et des Marrons révoltés, un palefrenier italien et une jeune esclave africaine sauvent du bûcher le dernier grand chaman Taïno. Initiés à ses secrets, ils élaborent un rite fondateur de Paix. Haïti, futur proche : dans un pays dévasté où malgré tout persiste l'espoir, la découverte d'un site archéologique taïno inestimable provoque un conflit entre un parrain local et des paysans adeptes du vodou. Impliqué, un géologue va devoir se battre corps et âme pour comprendre les enjeux cachés et les forces profondes qui régissent Haïti.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 4h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14553
Résumé:Présentation de l'éditeur : La construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation. Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettre entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
Lu par : Alain Maillard
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12488
Résumé:Le roman anonyme de "Robert le Diable" est attachant par la variété de ses épisodes et de son inspiration. Autour du thème central du repentir et du rachat du héros condamné au crime par sa naissance diabolique se développent des scènes de combat qui apparentent l'oeuvre à la littérature épique ; des scènes d'amour, un amour longtemps tu de la princesse pour cet inconnu qu'elle soupçonne d'être un vaillant chevalier malgré sa vie misérable ; des scènes de la vie quotidienne, cour de l'empereur, tumulte des rues, us et coutumes du palais pontifical. Le tout s'achève par un coup de théâtre bien préparé où le vainqueur des Turcs confond l'imposteur qui prétendait épouser la princesse, avant de se retirer dans un ermitage où il meurt en odeur de sainteté. Le merveilleux, qui n'est ni profane, ni celtique, ajoute au charme de cette histoire au récit habilement mené par un écrivain pleinement maître de son métier.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 4h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14864
Résumé:Ecrivain fatigué et à court d'inspiration, Benoît Rouvre s'est retiré dans une maison solitaire à Valmont, Suisse. Au-dehors, un couple l'intrigue : lui, Benjamin Gousenberg, vieillard à l'oeil étincelant, elle, Sarah, brune, large bouche, corps déployé. Atteint d'un cancer incurable, Gousenberg propose à Rouvre, fasciné, le pacte suivant : sa femme Sarah vole d'homme en homme, il lui fait don de Sarah. Rouvre s'embrase pour cette "fille de Jérusalem" qui n'éprouve de plaisir qu'à l'insulter, et découvre avec horreur ses nombreux amants. La mort de Gousenberg et le suicide de Sarah concluent le roman. Mais Rouvre, comme assommé par ce qu'il vient de vivre, y ajoute un épilogue, lumineux. {La Trinité}, autre nom pour le triolisme ? Ou est-ce un livre biblique ? L'extase commune d'un protestant vaudois et d'une fille de Jérusalem ? Ce roman troublant et tourmenté, cette passion à deux plus un absent, Jacques Chessex la conçoit comme un embrasement froid, une manière de se distraire de la mort, une fin de saison entre chair et chaire : "Trois ombres achevaient la partie de l'apothéose du vide."